L’article de La Dépêche le surnomme Le Sherlock Holmes des épaves d’avion
.
Gilles, qui travaille chez un avionneur, a également une passion pour l’archéologie aéronautique
, un terme qui peut paraitre paradoxal au premier abord…
En fait, ce passionné, après avoir observé l’épave d’un avion qu’un apiculteur avait vu s’écraser pendant la seconde guerre mondiale, a décidé de se consacrer à la recherche d’autres épaves.
Il a même décidé de créer un club d’archéologie aéronautique.
En interrogeant notamment des personnes âgées ayant assisté à des crash d’avion entre 1939 et 1945, il a ainsi retrouvé une trentaine d’épaves.
Les découvertes se poursuivent par une véritable enquête pour retrouver le type d’avion, les circonstances du crash et qui était à bord, en consultant des experts du monde entier.
La plus grande satisfaction : retrouver les descendants des pilotes pour leur remettre les vestiges.
Le Sherlock Holmes des épaves d’avion.
Image présentée à titre d’illustration