A Gauchin-Légal (ou Gauchin-le-Gal), une légende raconte qu’un bloc de grès roulait parfois dans les rues du village, la nuit, s’arrêtant devant les maisons des maris trompés.
Selon la légende, toujours, un officier américain décida même d’enchainer le bloc de grès au sol.
Michel, passionné d’étymologie et d’histoire s’est penché sur la légende et à confié son explication à La Voix du Nord.
Le Gau de Gauchin-le-Gau (1517) devient le Gal ultérieurement (un gros caillou en patois local). Selon l’hypothèse émise par Michel, avec un e
supplémentaire, le gale s’approche du verbe galer
(XVIe siècle), à rapprocher de la galanterie dans son sens originel. La légende proviendrait alors d’un jeu de mot ou d’un rapprochement entre gal (pierre) et gale (plaisir).