Billet d’humeur

Une fois n’est pas coutume, mais je me permets un billet d’humeur.

Je suis inscrit à Facebook (mais Facebook n’est qu’un exemple, il y a MySpace, les réseaux « sociaux » professionnels dont je perds le nom, et beaucoup d’autre réseaux…)
Je sais pourquoi je me suis inscrit à Facebook : j’y publie mes actus pour tenir informé mes nombreux amis de Facebook des actualités de mon Webzine (ou blog pour faire simple). En quelque sorte, je touche un public plus large. C’est tout ce que j’y fais.

Des amis que je ne connais pas (ou si peu), des infos qui ne m’intéressent pas (ou si peu, ou alors je ne sais pas, je ne les lis pas ou Facebook les hiérarchise peut être…), une interface des plus étranges….
Je ne suis pas rétrograde, loin de là, mais j’ai déjà connu cela au début d’Internet lorsqu’il a commencé à intéresser le « grand public » : pour ma pomme c’était le réseau Infonie (heureusement, la porte était ouverte sur le vrai monde d’Internet), ailleurs MSN (qui n’était pas alors qu’une messagerie instantanée), ailleurs AOL, ailleurs autre chose…
Des sortes de réseaux parallèles qui auraient voulu remplacer Internet ?

Tout cela avait été rapidement balayé par Internet (Interconnected Networks).

Quand je vois aujourd’hui ce retour à des réseaux aujourd’hui dits « sociaux », en comité restreint, je peux le comprendre. Que ces réseaux tendent à suppléer Internet, là ça me gêne, et quand des énigmes de chasses au trésor sont publiées sur Facebook lorsqu’elles sont destinées au plus grand nombre, alors là je grogne…

Je comprends ce qui sous-tendait ces « réseaux sociaux », je ne comprends plus trop le « modèle » actuellement.

Une saute d’humeur.
Allez, je vais mettre un lien vers ce billet sur Facebook 😉

Pour terminer, pour faire un peu de provoc’ (je ne suis pas coutumier du fait), ces « réseaux sociaux » me semblent parfois une sorte d' »Internet de clocher », ou alors très « mass média » et bien raz des pâquerettes…
La provoc’ est peut être juste là pour vous inviter aux commentaires