Communiqué de presse : vestiges d’une civilisation européenne inconnue en Bosnie-Herzégovine

Communiqué de presse de Nord Sud Institute

C’est après beaucoup d’hésitation que l’explorateur français, Dominique Jongbloed, a décidé de communiquer sur les découvertes faites par lui et son équipe lors des explorations effectuées de 2013 à 2014 dans la vallée de Visoko, une vallée se trouvant à 30 km au Nord de la capitale de Bosnie-Herzégovine, Sarajevo.

Une nouvelle image pour la Bosnie-Herzégovine ?

On était habitué à n’avoir en tête, concernant la Bosnie, que l’image d’un pays dévasté par la guerre de 1992 à 1996. Aujourd’hui, avec les expéditions baptisées EPR (European Pyramids Research), l’image aux yeux du monde du pays tout entier risque de changer avec la découverte faite dans cette vallée de deux vestiges historiques quasiment confirmés. Ils dateraient probablement, l’un de 20 à 24.000 ans, l’autre d’environ 30.000 ans avant le Présent.

Des découvertes qui remettent en cause certaines bases de l’Archéologie

Cet endroit, découvert à l’origine, en 2005, par le Dr. Semir Osmanagich, un anthropologue bosniaque, directeur du département d’archéologie de l’université américaine de Sarajevo, faisait l’objet jusqu’à présent de vives polémiques quand à la crédibilité du lieu en tant qu’endroit disposant de réels vestiges archéologiques.

Mais, avec ses expéditions, Dominique Jongbloed, armé d’un matériel de pointe et d’un programme d’investigations, de mesures, d’analyses et de prélèvements très ambitieux, a pu dégager le vrai du faux, l’affabulation de la réalité, sur le terrain.

Ses découvertes remettent en cause de nombreuses affirmations faites par les différents scientifiques s’étant intéressés au lieu et contredit certains résultats obtenus, y compris dans ceux fournis par l’équipe archéologique de la fondation « Parc archéologique : pyramide bosniaque du Soleil », laquelle travaille sur place quotidiennement !

En effet sur les sept singularités, présentées comme de possibles vestiges archéologiques, seules deux ont retenu l’attention de l’Explorateur, du fait de résultats troublants résultant des diverses mesures, analyses et prélèvements effectués jusqu’à présent.

Ces deux singularités, qui prennent à présent la forme de possibles vestiges historiques, pourraient à elles seules remettre en cause plusieurs certitudes de l’archéologie bien ancrées dans son modus vivendi.

Une pyramide en Europe

En effet, si l’on prend en compte les résultats obtenus, soumis à des experts (acousticiens, bio-acousticiens, géologues, etc.) aux compétences reconnues en France mais aussi à l’étranger, nous pourrions être en présence de la plus ancienne et de la plus haute pyramide du monde !

La pyramide du Soleil (à l’origine appelée colline de Visocica), telle qu’elle a été baptisée par le Dr. Osmanagich, est haute de 220m et est recouverte sur ses quatre faces d’une sorte de béton d’argile aux propriétés piézo-électriques encore inexpliquées à ce jour. Chaque face de la pyramide est orientée selon les points cardinaux.

Disposée en trois niveaux, parfaitement identifiés par l’équipe de Dominique Jongbloed, elle se présente comme une pyramide à quatre faces (confirmées par l’imagerie aérienne du drone de l’expédition qui a survolé son sommet) inclinées à 45° de moyenne et à trois niveaux (c’est une pyramide à degrés) dont l’Apex devait encore exister avant la guerre mais qui a été modifié du fait de la création d’un fortin à son sommet, celui-ci le nivelant.

Deux arêtes construites, sur les quatre recherchées, ont été parfaitement identifiées par l’équipe au sol et semblent se trouver exactement là où elles le doivent pour confirmer l’aspect « construit », terraformé, de la colline. Cette pyramide est recouverte de béton sur toute sa surface mais personne ne sait pour quelle raison. Seule l’archéologie nationale pourra le déterminer en s’attaquant au problème rapidement.

Cela remet toutefois en cause le dogme établi qui définit l’Orient comme étant la source de la culture et du savoir de l’Occident et nous amène plutôt à nous poser la question de la multiplicité des lieux de naissance de la civilisation.

En effet, datée au radiocarbone de – 24.800 ans avant le Présent, par un laboratoire de Kiev (elle fait actuellement l’objet d’une nouvelle demande de datation, plus précise, auprès du CIRAM en France), elle place Sumer, considérée comme le début des civilisations de l’humanité, plus de 17600 ans plus tard !

Cela constitue à l’évidence un recul extraordinaire dans le temps et ne fait donc plus de la civilisation sumérienne la première civilisation de l’humanité.

Une construction des plus étranges…

Un labyrinthe souterrain, le Ravné, second vestige archéologique identifié par Dominique Jongbloed, est constitué de dizaines de tunnels. Ceux-ci reçoivent, dans des salles souterraines exhumées, des mégalithes faits de toute évidence d’un mélange de céramique et d’autres matériaux les rendant extrêmement résistants. Il est probable qu’ils ne sont pas de pierres taillées mais furent façonnés par la main de l’homme (une analyse des prélèvements fait sur l’un d’eux est demandée actuellement au CIRAM) !

En effet, l’ensemble du labyrinthe est littéralement taillé dans un conglomérat datant de la dernière ère glaciaire, aux propriétés piézo-électriques, et si l’on dégage la terre de remblais, de manière artefactuelle et non naturelle. Les côtés de chaque tunnel d’accès aux salles souterraines sont littéralement sculptées selon des angles très épurés reprenant des calculs qui relèvent des notions d’aérodynamisme, ce qui est tout simplement impossible pour l’époque puisque ces tunnels ont été radio datés au Carbone 14 (et vont l’être une seconde fois, avec des échantillons remis au CIRAM qui va utilisé une nouvelle méthode, plus précise, de datation) d’au moins 30.000 ans avant le Présent !

Les mégalithes retrouvés, disséminés au sein de ces tunnels, sont de taille de plus en plus importante au fur et à mesure que l’on s’enfonce dans les tunnels qui se poursuivent sur 950 m déjà dégagé (bien qu’une étude au georadar ait révélé que ceux-ci se poursuivaient dans la vallée sur plus d’une douzaine de kilomètres).

L’eau des tunnels a été soumise aux analyses d’un des plus grands laboratoires français d’analyse de l’eau, le LAE du Canal de Provence, et celui-ci révèle une pureté exceptionnelle et des facultés pour le moins étonnantes en ce qui concerne le transport de micro-charges électriques.

L’ensemble du Ravné produit un air fortement chargé d’ions négatifs qui aurait un effet bénéfique sur la sphère ORL des personnes séjournant au sein de ces tunnels !

Un rapport pragmatique est remis aux autorités par l’association Française, Nordsud Institute, à l’origine de ces expéditions.

Le rapport a été transmis récemment à la fondation Bosniaque du Dr Osmanagich, à Monsieur Mladen Ivanic, Président de la République de Bosnie Herzégovine et enfin à Madame Irina Bokova, directrice générale de l’UNESCO, pour lui demander d’intervenir auprès du département pour la sauvegarde du patrimoine de l’humanité, afin de solliciter une visite de spécialistes de cet organisme sur les lieux.

Ces expéditions, initiées par l’association Nordsud Institute, une association dédiée à la promotion de l’Aventure et de l’Exploration, basée à TOULON, dans le Sud de la France, sont en passe de prendre un tournant historique.

Renseignements :
www.dominiquejongbloed.org : rubrique « Expéditions »
www.nordsud-institute.com : rubrique EPR

Contact : infos@dominiquejongbloed.org
Téléphone : 06 01 77 09 70

infos@nordsud-institute.com
Téléphone : 04 83 57 46 83

Illustration : couverture du livre de Dominique Jongbloed « Vallée de Visoko – Bosnie – à la recherche de la vérité » paru aux éditions Terres d’Aventures.